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- Manifester votre émerveillement ! Le vrai cadeau de Noël...
- Les piliers du bonheur ?
- Quelque chose à vous offrir en 2026 ?
- Que vont-ils penser de moi ?
- L’homme est fait pour courir !
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Vous voulez rendre quelqu’un heureux, pour une heure, pour un jour, pour un mois, peut-être même pour une année ?
Vous voulez, pour elle, faire de ce Noël un moment unique et rare et inoubliable ?
Dites à cette personne ce qu’elle a de profondément beau.
Dites-lui ce que vous voyez en elle et qu’elle ne voit sans doute pas.
Ces qualités qu’elle considère comme ordinaires, alors qu’elles sont rares.
Cette manière d’être, d’agir, de parler, qui laisse une trace sans qu’elle en ait pleinement conscience.
Dites-lui ce qui vous touche chez elle.
Ce qui vous émerveille.
Ce que vous percevez d’unique dans ce qu’elle fait, dans ce qu’elle crée autour d’elle, dans la façon dont elle rend le monde, parfois très discrètement, un peu plus habitable.
Dites-lui ce qu’elle réveille en vous.
La confiance. L’élan. Le calme. Le courage d’être soi.
Car ce désir d’être vu, vraiment vu, existe en chacun de nous.
Non pas vu pour ce que nous faisons, mais reconnu pour ce que nous sommes, avant tout effort, avant toute performance.
Lorsque cette reconnaissance est juste, elle ne gonfle pas l’ego.
Elle rappelle à chacun sa place singulière, et lui donne la permission de l’habiter pleinement.
Il suffit parfois de quelques mots vrais pour qu’une personne se redresse intérieurement — et se tienne au monde autrement.
Vous aspirez au bonheur.
Qu’est-ce qui le nourrit réellement ?
Avec le temps, une évidence s’impose : le bonheur n’est pas un objectif à atteindre, mais un état qui émerge lorsque certains « nutriments » sont présents dans une vie.
Pas des recettes miracles. Des fondations.
On peut en distinguer quatre.
D’abord, quelque chose de plus grand que soi.
Non pas nécessairement une religion, ni une croyance figée, mais le simple fait de se relier à ce qui nous dépasse.
Cela peut être le vivant, l’univers, le temps long, la nature, ou l’idée de ne plus se vivre comme le centre de tout. Cette perspective change le regard porté sur les événements, les relations, le travail. Elle aide à relativiser, à respirer, à remettre les enjeux à leur juste place.
Ensuite, la famille, plus largement, les liens intimes.
Une relation centrale, choisie, nourrie, dans laquelle on peut être vrai. Un espace d’ancrage et de confiance. Quand ces liens ne sont pas périphériques mais structurants, ils deviennent un axe à partir duquel les décisions se prennent et la vie s’organise.
Troisième pilier : les amis.
Des relations qui durent, qui traversent le temps. Des personnes avec lesquelles il n’y a rien à prouver. Ces amitiés offrent un sentiment d’appartenance, de continuité, de profondeur. Elles rappellent d’où l’on vient et permettent de rester relié à ce que l’on est, en dehors des rôles et des performances.
Enfin, le service.
Donner, contribuer, être utile. Que ce soit dans le travail ou ailleurs, avoir un impact réel sur la vie d’autrui transforme le rapport à l’effort et au temps. Les journées ne sont plus seulement pleines : elles prennent du sens. Et le sens est un puissant générateur de satisfaction durable.
Ce qui frappe, avec le recul, c’est que rien de tout cela n’est réservé à une élite, à un âge particulier ou à une situation idéale.
Ce sont des nutriments simples, accessibles, que l’on peut commencer à introduire très tôt dans une vie.
Rien de spectaculaire.
Mais essentiel.
Et c’est là toute la différence entre être riche et être véritablement prospère.
Entre rich et wealthy, reich et wohlhabend.
Une nuance que certaines langues expriment mieux que d’autres — mais que l’on ressent très bien.
Car il est tout à fait possible d’être, sans le savoir,
l’homme ou la femme la plus riche du village.
« The richest man in town! »
On aime croire que la réussite professionnelle repose d’abord sur l’expertise, les diplômes, l’intelligence ou la maîtrise technique. Bien sûr, tout cela compte. Mais dans la réalité du terrain, ces éléments expliquent rarement la différence entre ceux qui avancent… et ceux qui stagnent.
Ce qui fait vraiment la différence, dans 80 % des cas, c’est la capacité à composer avec les autres : faire passer une idée sans braquer, écouter sans s’effacer, convaincre sans forcer, poser un cadre sans écraser. Sentir une tension, adapter son message, choisir le bon moment, le bon ton, la bonne histoire. Bref, comprendre que le travail est avant tout un espace relationnel.
Les projets n’échouent pas parce qu’ils sont mal conçus. Ils échouent parce que personne n’a su embarquer, rassurer, aligner, donner envie. Les carrières ne plafonnent pas par manque de compétence, mais par difficulté à se rendre lisible, audible, crédible. À niveau technique équivalent, ce sont toujours ceux qui savent captiver et convaincre qui prennent l’avantage.
C’est précisément pour cela que j’ai créé la formation Captiver & Convaincre. Pas pour apprendre à “bien parler”, mais pour apprendre à faire passer. Des idées. Une vision. Une décision. Avec justesse, clarté et impact. Dans des situations réelles, humaines, parfois inconfortables.
Si vous avez le sentiment que vos idées mériteraient mieux que ce qu’elles produisent aujourd’hui, ce n’est probablement pas un problème de fond. C’est un problème de transmission. Et ça, ça s’apprend.
Ce que pensent les autres de nous agit comme un poids. Sur nous. Sur nos vies.
Comment vais-je m’habiller pour ne pas être trop remarqué, mais suffisamment pour exister ?
Que dois-je dire pour exister, sans être identifié comme celui ou celle qui ralentit, qui dérange, qui empêche les choses d’avancer ?
Que vont-ils penser de moi ?
Cette question devient vite une obsession.
Sans doute est-ce une histoire de psychologie évolutive. Pendant des millénaires, notre survie dépendait du regard et de l’acceptation du groupe. Se fondre dans l’opinion générale, ne pas trop dépasser, ne pas trop sortir du cadre, était une condition de survie.
Mais il est possible de prendre un peu de recul.
Quand nous nous demandons ce que les autres vont penser de nous, ce qui se joue réellement est plus subtil : nous sommes inquiets de ce que nous pensons que les autres vont penser de nous. C’est encore et toujours notre propre regard qui est en jeu. Une projection. Une anticipation. Une interprétation.
Cela ne vient pas d’un système extérieur — que nous serions bien incapables d’évaluer objectivement — mais de notre propre système de valeurs. De nos exigences internes. De nos zones de frottement.
De la même façon, ce que pensent les autres de nous peut être vu comme un cadeau : un signal qui nous indique quelque chose à notre sujet avec lequel nous ne sommes pas encore en paix, pas encore alignés.
Et surtout, gardons cela en mémoire : ce n’est pas ce qui est dit qui nous atteint, c’est ce que nous en faisons.
Si quelqu’un vous critiquait en grec, vous ne comprendriez même pas ce qui vient d’être prononcé.
Ne vous laissez pas offenser ou démolir par du son.
Devant les plaintes sur les genoux abîmés, les entorses, les hanches douloureuses et les dos sensibles, il est facile de penser que l’être humain n’est pas fait pour courir. Que la course n’est qu’une lubie moderne, bonne pour se blesser, et que marcher serait plus naturel, plus raisonnable.
La vérité semble être tout autre…
L’humain est un coureur pour une raison simple : il est capable de courir pendant des heures, sans être plus rapide que sa proie, mais en la rattrapant à force d’endurance. C’est ce qu’on appelle la chasse à l’épuisement. Ce n’est pas un mythe : nos ancêtres savaient que la sueur est une arme. Nous transpirons là où les autres animaux surchauffent. Nous persistons, là où ils s’écroulent.
Le corps humain est truffé d’indices : longs tendons, muscles fessiers puissants, voûte plantaire élastique, cou stabilisé… Ajoutons à cela une capacité de régulation thermique exceptionnelle. Tout ça pour quoi ? Pour rester assis sur une chaise ? Certainement pas.
Certes, courir est énergivore. Mais l’humain sait quand dépenser. Et quand il le faut, il le fait. La course n’est pas un luxe, c’est un outil de survie. Nos ancêtres ne couraient pas pour le plaisir (même si ce plaisir existe), ils couraient pour vivre.
Si l’on n’était pas fait pour courir, pourquoi des milliers de personnes, tous les ans, franchissent-ils la ligne d’un marathon, souvent avec un simple entraînement progressif ? Ce n’est pas la distance qui est inhumaine, c’est la sédentarité.
Alors oui, nous pouvons marcher. Mais nous sommes faits pour courir. Et quand nous courons, nous renouons avec une part essentielle de notre humanité. Une part qui pense peut-être… mais qui, surtout, avance.
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